Lacroix demande l’aide de la population

Quelques heures après avoir recouvré sa liberté, Vincent Lacroix est bien embêté. Il n’arrive pas à retrouver la planque où il aurait caché l’argent économisé avant qu’il ne soit arrêté.

« J’étais sûr que c’était en dessous du pin au chalet. Mais j’ai eu beau creuser autant comme autant, j’ai rien trouvé ».

« À moins que je me trompe avec le chêne à la résidence d’été », murmure Lacroix, songeur.

Découragé, il demande l’aide de la population afin de retrouver ce qui lui appartient. « À la gang, je suis sûr qu’on est capable de le trouver rapidement. On pourrait faire des genres de battues à chacune de mes maisons ».

Il tient à rassurer le public. « C’est pas de l’argent des épargnants, c’est de l’argent que j’avais économisé ici et là depuis que je suis jeune. De mes ptites jobs, comme camelot ou quand je travaillais chez Le pape de la patate. »

L’argent serait à l’intérieur de plusieurs boîtes à souliers, en coupures de 100$ et en lingots d’or.

« J’ai comme un vague souvenir d’avoir enterré quelque chose aussi dans un terrain vague en Guadeloupe », soupire Lacroix. « Ce sera pas facile mes amis ».

« À moins que ce soit juste au bureau. Je vais aller faire un tour pour voir. Vous, vous allez au chalet », indique t-il avant de disparaître en vitesse.

Commentaires

commentaire(s)