La mort de mon épouse est l’une des 3 pires épreuves de ma vie
|Cette collaboration spéciale nous vient de monsieur Joseph Bissonnette. Joseph est retraité de la fonction publique et aime bien le sudoku, le plein-air et le sentiment de plénitude qui l’envahit lorsqu’il assiste à un coucher de soleil après 2 Xanax et un whisky.
Vendredi dernier, mon épouse est décédée. Elle avait 84 ans. Nous nous sommes mariés le 18 janvier 1948. Nous avons passé plus d’un demi siècle ensemble. Je me suis réveillé ce matin, et elle était étendue près de moi, la langue sortie, morte pendant la nuit d’un arrêt cardiaque que nous n’avons jamais vu venir. Elle marchait 5 kilomètres par jour et semblait en pleine forme.
Ce fut un choc terrible pour moi. C’est encore tout récent, mais je peux déjà dire que sa mort est l’une des 3 pires épreuves de ma vie.
C’est certainement du même niveau que la fois où j’ai eu à torcher le barbecue en 1987. Je sais pas si vous avez déjà torché ça un barbecue, mais c’est une jobbe de malade. C’est plein de restes alimentaires carbonisés, de vieux gras de poulet calciné sur les grilles, de jus de viande cramé sur les brûleurs; on a beau frotter et frotter, ça reste noir et graisseux. C’est dégoûtant, et ça prend des heures.Il y a aussi, bien sûr, cette horrible semaine de camping sur la côte Est des États-Unis en 1974, où il a plu pendant 6 jours consécutifs. Nos sacs de couchage étaient détrempés, et le poêle Coleman n’allumait plus à cause de l’humidité accumulée tout au cours de la semaine. C’était une aventure fort désagréable. Les moustiques étaient partout. Non, vraiment, une épreuve interminable. Au moins, lorsque votre épouse meurt, ça ne dure que quelques instants, et on s’en remet tranquillement, en allant mieux de jour en jour. Mais 6 jours de pluie? Dans une tente?
Attendez. Cette histoire me fait penser à l’abri de cuisine pour le camping que j’ai acheté en 1982. C’était pas montable. Des instructions écrites tout croche, des poteaux en aluminium de mauvaise qualité, une toile trop étroite. Qu’est-ce que j’ai sacré après ce ciboire d’abri de marde. J’ai bien passé au moins deux heures à essayer de le monter, en pleine canicule.
La mort de mon épouse est la quatrième pire épreuve de ma vie. À tout le moins dans le top 10. Je m’en rappellerai sûrement dans 5 ou 10 ans.
Ça fait grincer de rire.
J’aime lire mauvais oeil, mais je ne dois pas comprendre le texte suivant.. Vraiment plate. Par moment, plutôt que de publier des textes moche, pourquoi ne pas attendre l’inspiration?
Inégale en effet!
Vraiment, maivaisoeil, je vous visite régulièrement et vous adore, mais ce texte là est de trop. C’est un sujet trop délicat pour être traité à la légère. Comme dirait Boff, la prochaine fois attendez l’inspiration parce que c’est raté et même un peu déplacé. Attaquez au moins des gens qui sont capable de se défendre, pas des personnes âgées qui perdent la mémoire. Au plaisir de vous relire dans de meilleurs textes.
Dehors les moumounnes à la Boff et Vfrançois… Pis çé vrai que les osti d’abris de toute sorte ben ça fitte pas. Pis du camping,à pluie ça itou çé pas drôle mé pas pantoute,çé ben comprennable. J’vas pas parlé de l’épreuve ultime du BBQ çé assez. La vielle ben tu l’enterre pis çé fini ça aussis çé ben comprennable.
@Dark Knight
Un beau zéro pour le français et l’argumentation. En passant »comprennable » n’existe pas, on dit : compréhensible. Merci.
@ Valérie
Icitte au Québec, on pale le québécois,.. pis si t pas contante baptinçe bin eurtourne dont travaillé pis laiçe le vra monde tranquille ,… a ouin pis c pas dans le larousse qu’on i trouve des mots comme « escalator, email, pouffe-iaçe »
Bon aek ça on nez tranquille pour in bon 5 hrs , à vas charcher pouffe-iaçe dans el-dictio chu bin sûr!
Longue vie à MO.
pauvre C..