Notes en vrac

Ça faisait un bon 4 jours que je recevais pas le journal alors j’ai appelé. Après m’avoir mis en attente, la madame m’a informé qu’on avait annulé mon abonnement parce que j’avais menacé le camelot avec un batte de baseball mercredi matin passé.

Je me rappelle bien de ça mais j’étais vraiment sûr que c’était un rêve cette histoire-là.

Ça me fait redouter que le numéro 2 au milieu du gym était pas un rêve non plus. Inquiétant.

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J’ai aussi appelé chez Bell parce qu’ils m’ont chargé 3 fois trop cher pour mon Internet le mois passé. Pendant que j’étais en attente je me suis fait un petit Bellini.

Quand le monsieur a répondu, je venais de finir la deuxième bouteille. J’ai essayé de lui expliquer le problème mais on a eu ben de la misère à se comprendre; moi je bégayais un peu et j’avais ben de la misère à prononcer mes « s », et lui il switchait souvent du français à l’hindî. J’pense qu’il m’a abonné à Télétoon ou quelque chose du genre.

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Après avoir vu le journal ce matin en allant m’acheter de la Boomerang, je veux aussi m’excuser pour avoir appelé dans la ligne ouverte de Jacques Fabi la nuit dernière et m’être obstiné un bon 15 menutes qu’il se trompait et que le président noir c’était de la fiction et que c’était dans 24, l’emission avec le gars de Young Guns 2.

Vous aviez raison monsieur Fabi mais vous aviez pas à vous fâcher comme ça. Je comprends que ça a retardé la pause et que vous devez avoir attendu 5 minutes de plus pour fumer votre Export A verte caché en dessous de la console, mais je trouve que vous avez été rough avec moi. Il faut comprendre que c’est pas tout le monde qui a assez de temps libre pour suivre l’actualité.

Pour Bush et l’Iraq par contre vous êtes dans le champ, c’est fini depuis 1991 je crois.

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Avec le froid qui sévit par ici, je suis allé m’informer des prix pour un voyage à Cuba. J’ai demandé le forfait tout inclus, avec boisson à volonté, comme celui dont Marcel m’avait parlé au bureau.

C’était beaucoup trop cher. J’ai demandé combien c’était pour juste la boisson à volonté mais on m’a dit que ça se faisait pas, qu’il fallait vraiment se rendre sur place.

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