Grande Ourse – La clé des possibles
Il y a, dans Grande Ourse – La clé des possibles, des moments d’extases qui vous redonnent goût à la vie. À tout le moins un, lorsque le générique de fin apparaît, et qu’on peut lever son cul pour quitter la salle après 104 minutes de torture à regarder ce navet, qui fait suite au rutabaga qu’était la série télé. Non seulement tout le projet est un pillage éhonté de Twin Peaks, mais on en remet en y collant un pitoyable scénario et une distribution quelconque, et on termine le tout par une leçon de morale puérile. Navrant.
Grande Ourse
Je vous offrirais un résumé, mais il y a certaines choses, comme les meurtriers de masse ou les faux polémistes, auxquelles il est préférable de ne pas donner de publicité.
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A propos de l'auteur
Pascal-Pierre Fradette
Pascal-Pierre Fradette est journaliste pigiste depuis plusieurs années. Il aime la culture sous toutes ses formes, excepté lorsque produite par des imbéciles. Après avoir tenu le blogue Pataklow!, il a fondé le site Mauvais Œil.
Pourtant, un vrai journaliste aurait decrit le film avant d'le descendre.
Je l’ai aimé moi le film…