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Pour en finir avec les questions et accusations

Premièrement, mettons une chose au clair: c’est Fradette, et non Bradette, comme certains conspirationnistes laissent entendre.

On questionne et remet en doute, ici et ailleurs, que je sois réellement journaliste. Une mise au point s’impose. Laissez-moi donc répondre à toutes ces accusations gratuites, même si je me suis déjà expliqué à quelques reprises dans les commentaires de ce blogue.

J’ai une formation de base en journalisme, acquise au collège. J’ai réussi le cours avec d’excellentes notes, méritant au passage des fleurs pour mon niveau de langue et ma polyvalence. Lors de ces études, j’animais parallèlement une émission à la radio, où j’entretenais mes auditeurs sur l’histoire de la musique pop-rock. J’ai ainsi reçu plusieurs artistes locaux en entrevue, ce qui m’a permis de développer mes talents et aptitudes de chroniqueur. Et non, je n’avais pas ma langue dans ma poche!

J’ai travaillé à la pige quelque temps pour un hebdomadaire en Afrique sahélienne, où j’étais de passage lors d’un voyage personnel. J’ai pondu quelques articles traitant parfois de politique, parfois de culture, et parfois de trucs et astuces domestiques adaptés aux moeurs locales. Il y a quelques années, j’ai été rédacteur en chef et reporter pour le journal interne d’une compagnie en alimentation, tâche que j’effectuais en plus de mes fonctions régulières. J’ai souvent participé à diverses publications imprimées, notamment au courrier des lecteurs de grands quotidiens, où j’ai même à quelques occasions révélé certaines informations inconnues du lectorat.

Mais je reste au fond de moi un amoureux de la culture, et c’est mon sujet de prédilection. C’est pourquoi j’ai décidé d’ouvrir ce blogue, afin de pratiquer ce que je considère être mon métier, le journalisme, tout en pouvant discourir de ce qui me touche et me fascine. Bien sûr, tel un caméléon de la pensée, j’aborde parfois d’autres sujets comme les arts, la politique et les sciences. Cette diversification des connaissances, combinée aux avantages inhérents à la technologie du blogue, me permet d’écrire en toute liberté, contrairement aux journalistes des grands médias, ces médias qui ont souvent rejeté mes articles sous de faux prétextes. Je crois que nous sommes plusieurs dans cette situation, et l’union de nos forces pourrait produire des résultats inespérés.

Je suis un libre penseur (j’aime bien le terme voltairien caustique), et ce ne sont pas quelques barbares jaloux qui me feront taire; qu’on se le tienne pour dit.

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