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Comment prennent naissance les rumeurs de transactions

Le journalisme sportif est une profession qui demande de la rigueur, du travail acharné et beaucoup de recherche. Pour se distinguer de l’amateur moyen, le journaliste sportif doit développer un réseau de sources crédibles qui pourra le renseigner, notamment lorsque vient le temps de vérifier certaines rumeurs de transactions. Mauvais Œil vous présente aujourd’hui les différentes étapes nécessaires afin que ces valeureux reporters puissent nous communiquer les tractations secrètes de vos équipes sportives préférées. Cliquez sur chaque image afin de mieux comprendre ce que ce travail implique.

Étape 1: La motivation

À la source d’une rumeur de transaction, il y a la soif de connaître d’un journaliste et son désir de partager avec les amateurs les négociations entre les équipes sportives. C’est cette noble motivation qui pousse le journaliste à se dépasser.

Étape 2: Consulter ses sources

Une fois que le journaliste se met à la recherche d’informations, il consulte ses sources personnelles dans le milieu. Ces dernières peuvent l’orienter vers les discussions sérieuses se déroulant entre les équipes sportives.

Étape 3: Confirmer l'information reçue

Après qu’une source lui ait fourni un précieux tuyau, le journaliste cherche ensuite à confirmer cette information auprès de sources personnelles supplémentaires dans le milieu. Ces dernières peuvent confirmer ou infirmer la rumeur existante, et même lui fournir de l’information additionnelle.

Étape 4: Effectuer la recherche approfondie

Une fois que ses sources ont confirmé la validité de la rumeur, le journaliste doit ensuite poser les bonnes questions aux bonnes personnes afin de connaître tous les détails de l’histoire.

Étape 5: Diffuser l'information

Lorsque l’information a été confirmée, le journaliste peut ensuite faire part au public de ses trouvailles. Si la rumeur se révélait fausse, le journaliste peut ensuite invoquer que la ligue a bloqué l’échange, que l’échange se déroulera à une date ultérieure, ou encore qu’un empêchement de dernière minute est survenu; après tout, ce n’est pas comme si le public allait s’en rappeler deux semaines plus tard.

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